VIII ) La mort et l’enterrement

Quand quelqu'un meurt, et est à proximité de sa maison, il est porté là au mensonge pendant un jour, où la famille, les amis, et les voisins peuvent venir payer leurs respects. Le défunt se situe dans le lit, sur son futon, avec un édredon élaboré à son menton, et un mouchoir au-dessus de son visage. Le mouchoir peut être enlevé pour regarder parti.

A ) Clergé

Un prêtre bouddhiste vient et chante des prières pour l'âme du parti, des rasages la tête, et des enlèvements le corps à incinérer, et ses cendres interred dans la parcelle de terrain de famille (s'il y a d'une). La plupart des temples bouddhistes ont attaché des cimetières, et chaque cimetière a au moins un emplacement grave pour ceux qui n'ont aucune telle cravate familiale. Puisque c'est le devoir de la vie à s'occuper des défunts (nettoyez leur tombe, visite, etc.) ceux qui n'ont personne à s'inquiéter de elles sont interred dans cette tombe commune, que chacun s'inquiète de comme devoir social. Le sacerdoce Shintô n'contactera pas un corps mort, car il les polluerait. Même des morts Shintô doivent être inquiétés de et manipulés par le clergé bouddhiste.

B ) Corps non identifiés

Les corps trouvés dans les rues ou en ville et qui sont évidemment le résultat du jeu fétide (par exemple, manquant une tête, flèches une douzaine dans le torse, etc.) sont pris aux sièges sociaux locaux de dôshin, où une recherche est effectuée. S'ils ne peuvent pas identifier les défunts, des descriptions du corps et de la nature de sa découverte sont signalées à de divers emplacements près où on l'a trouvé et au général signalant des signes en ville. Si personne ne vient en avant pour réclamer le corps, après la recherche il est retourné au temple bouddhiste le plus proche à préparer pour l'incinération et l'enterrement.

C ) Cercueils

cerceuilDes cercueils japonais sont faits de bois et ressemblent à de grands baquets ou barils. Le corps est placé à l'intérieur du cercueil une position se reposante, et puis en se reposant tout droit. Si le corps est réclamé, la famille lui prend la maison, la lave, et l'étale (si elle est présentable) comme décrit dans le premier paragraphe. Autrement, ils appellent tranquillement un prêtre dedans pour faire les services appropriés. Typiquement, les personnes en deuil viendront, offriront un pincement d'encens à l'autel bouddhiste, diront une prière pour parti, et donneront privé une enveloppe contenant un peu d'argent comme signe de respect. Cet argent ira vers le paiement l'enterrement, le service du prêtre, etc.

D ) Enterrements

Selon la classe sociale des défunts, l'enterrement peut être clairsemé ou élaborer, et la famille immédiate (et les serviteurs, si approprié) seront traités à un sillage avant l'enterrement proprement dit. Un exemple d'une cérémonie funèbre bouddhiste raffinée est dépeint dans le film Shôgun.

E ) Après l'enterrement

Lors du renvoi d'un enterrement, avant qu'on puisse entrer dans une maison, il doit avoir le sel arrosé sur lui. C'est une tradition Shintô. Car la mort est un polluant, l'homme a maintenant entré en contact avec lui et est malpropre, et doit être épuré par le sel. Autrement, il porte pollution de la mort (et malheur résultant) dans sa maison.

F ) Deuil

La mort d'un membre de famille réclame les survivants pour observer une période du deuil, selon la tradition. Pendant ce temps, la personne dans le deuil porte l'habillement blanc (s'ils peuvent se permettre le) et offre des prières pour les défunts au sanctuaire de la dans-maison de la famille. Ces prières aident à guider l'esprit du défunt au paradis et, si bouddhiste, pour les aider quand il vient heure pour leur jugement. Le contact avec les autres excepté des membres de famille est évité, pour pour ne pas leur causer la pollution ; on ne permet à aucun visiteur en dehors de la famille d'entrer dans la maison. Ceux dans le deuil sont considérés dans un état de pollution dû à leur proximité à la mort (c.-à-d., le défunt). En outre, les personnes en deuil ne doivent pas visiter un sanctuaire pour des raisons pareilles (bien qu'elles puissent visiter un temple bouddhiste, où de telles restrictions n'existent pas) et les la plupart couvrent leurs têtes toutes les fois que hors des portes, même si seulement de papier, pour pour ne pas défiler le soleil.

Pendant la période du deuil il ne peut y avoir aucun mariage, aucune division de propriété, aucun boire du saké ou manger de la viande, et aucun rasage ou découpage de cheveux. La période du deuil change, selon la relation des défunts au survivant. La mort d'un parent réclame une période de deuil de 50 jours, celle d'un mari 30, une épouse 20. La mort d'un fils exige 15 deuils de jours, la mort d'une fille 10, un neveu 5 et une nièce 3. Avec le dépassement d'un parent plus éloigné par période de deuil d'un jour est habituellement suffisant.