VII ) Les Ikkis

En 1400s, des groups se révoltes du au tax sur les gens du communs spécialment sous l'influence de militant bouddhiste, et forme des ikki pour s'opposer au bakufu et à les autres autorités gouvernementales. Les adhérents au Jôdô Shinshû (véritable section pure de la terre) ont créé des communautés qui étaient si fanatique qu’ils se sont appelés Ikkô Ikki (Simple- ligue Dirigée). En 1488 l'Ikki assassina le seigneur du Kaga et établi son propre gouvernement, qui a régné sur Kaga, Noto, et Echizen pendant presque un siècle. C'est l'Ikki auquel Nobunaga est si hostile. Les autres groupes d'Ikki sont apparus à Kii, Ise, et Settsu. Tous ont été dirigés par des chefs de temple.
L'Ikkô Ikki a été plus que juste récalcitrant dans la période Sengoku. Ils pouvaient afficher des armées impressionnantes de suivants fanatiques, mal armé et équipé. Cependant son manque en materiel, ce compensait davantage par l'enthousiasme et la détermination. Ils ne reconnaissent pas l'autorité du gouvernement central, et ne tolèrent pas l'interférence des clans à régir leurs territoires. L'Ikkô Ikki lui-mêmes se voiyait comme souverain à lui-même, sujet seulement à leur maître à Honganji.
En 1575, Nobunaga va finalement faire face à la « cohue d'Ikki. » Forcé de retraiter dans leur siège des montagnes dans le Hiezan, ils comptaient attendre le hegemon, mais ils ne purrent pas. Nobunaga ue les autres idées. Il commanda de mettre le feu à la montagne; chaque mur et bâtiment sur la montagne fut brulé. Les moines, prêtres, guerriers, hommes, femmes, et enfants furent tous tués. Ceux qui essayairent de s'échapper furent abbatu. Des dizaines de milliers périrrent, et le dos de l'Ikki fut cassé à tout jamais. Nobunaga ammena même un observateur jésuite, Luis Frois, qui écrit à la gloire de Dieu et avec de grands éloges pour l'élimination du général de la cohue païenne rebelle.