Ce chapitre contient beaucoup d'information de fond sur l'étiquette et les finesses sociales du Japon dans lequel votre campagne de SENGOKU a lieu. Cependant ce n'est pas exclusivement la seule référence: la mécanique du jeu apparait aussi, donc ayez une attention particulière, lorsque vous lisez, sur ce qui affecte en réalité le déroulement du jeu lui-même, plutôt que juste le contexte.
I ) Etiquette
On dit qu'une société armée est une société polie. Le Japon Féodal est très bien armé.
Le statut et la position sont aussi importants pour les japonais, l'étiquette est la graisse qui permet aux roues de la société de tourner. De plus bas rang on est, plus l'adulation à ses manières apparaîtra avec des rangs de plus en plus hauts pour s’adresser et agir réciproquement avec eux. Pratiquement toutes les formes d'interactions sociales prendront un des trois modèles suivants: à ses supérieurs, à son égale et à son inferieurs. Si un samouraï au bas de l'échelle hiérarchique traite un égal, il fonctionnera sur un niveau égal à moins qu'il n'espère une faveur, dans le cas où il se comporterait dans la façon inférieure-à-supérieur. Dans le cas où il se comporterait d’une façon supérieure-inférieure, il serait insultant ou plein d'humour, selon la situation et l'intention.
Si le même samouraï au bas de l'échelle hiérarchique devait utiliser des manières égales-à-égal et le discours à son seigneur, ce serait un exemple choquant de lèse majesté du fait que le domestique déclarerait son égalité avec le maître et pourrait se faire réprimander sévèrement ou même tué.
A ) Saluer
La courbette est la salutation de norme et selon la profondeur du salut et sa durée, on peut immédiatement dire qui est le supérieur et qui est l'inférieur. D’Égale à égale les amis peuvent se saluer avec un peu plus qu'une inclination de la tête d'une façon informelle, mais comme avec toutes choses, une situation formelle exige un comportement formel.
La forme la plus révérencielle de salut est une prosternation, avec son front touchant terre (parfois mentionnée par son nom chinois, "léche bottes"). D'habitude ce n’est utilisé seulement qu’à la cour, ou quand demandé par son seigneur, bien qu'un paysan étant adressé par quelqu'un de très haut rang (comme un samouraï bien placé, ou daimyô) puisse le faire et continue ensuite sa conversation avec le seigneur avec une position à genoux.
Si on a commis une certaine erreur, on salue de cette manière pour faire ses excuses à celui qui a été offensé; c’est une manière “d’éviter la prison” si cela est fait sincèrement. Un salut approprié et une excuse obtiennent toujours une réaction plus haute de celui qui a été offensé que si la personne se tient juste là et dit, "Désolé".
B ) Parler
La langue elle-même est un baromètre de position sociale. Le japonais a plusieurs différent “ niveaux de politesse” avec lequel il peut parler. Il y a même certains verbes qui sont seulement utilisés pour certaines gens. Par exemple, quand le peuple (ou égale) mangent, ils disent taberu; quand quelqu'un de plus important que vous mange, on dit meshiagaru. Quand un égal fait quelque chose, on dit suru (fait); quand un supérieur fait quelque chose, le verbe est nasaru et quand c’est un inférieur, c'est itasu. À ces spécialisés vocabulaire peuvent être attachés des formes innombrables de fins verbales et ceux-ci peuvent épouser les formes diverses de pronoms simples. Le résultat est un merveilleux patchwork qui peut en quelques mots vous dire tout ce que vous devez savoir de qui est qui.
Dans le vocabulaire anglais avec lequel nous assumons vous faites jouer le Jeux de Rôles de telles nuances subtiles sont littéralement impossibles à faire comprendre. Il y a quelques façons de transmettre l'idée, cependant. En s’dressant à un supérieur, un personnage devrait utiliser un mode de discours aussi poli que possible. Référez-vous aux supérieurs à la troisième personne, pas à la seconde (par exemple, “votre autorité permettrait à son domestique d'entreprendre cette nomination ?” A la place de ", Laissé moi faire!”).
Les joueurs sont libres, bien sûr, d’entièrement outre passer ce niveau de détail, mais il aide à vraiment simuler "le sens" de la culture dans laquelle ils joueront.
C ) En intérieur
En intérieur, on enlève ses chaussures avant de poser les pieds sur le revêtement du sol, en bois ou tatami. Ne pas le faire est ainsi insultant, sans parler que cela est malpropre. Il y a d'habitude des domestiques aux entrées avec des zori ou geta, si vous devez faire une promenade dans le jardin, d’une dépendance, ou dans un pavillon de thé, vous n'avez pas besoin d'être concernés du fait d’avoir laissé vos chaussures de l'autre côté du bâtiment. Même les auberges auront des paires de zori ou geta aux entrées diverses à la convenance de leurs invités.
Étant donné la nature en papier des murs intérieur, habituellement sur des cadres en bois, les sons traversent. Il est ainsi grossier d'être bruillant ou violent. C'est aussi mal vu d’écouter une conversation dans une autre pièce, bien qu'il soit dur de ne pas l'entendre.
D ) Audiences
Lors d’une audience avec un seigneur ou toute autre personnalité importante, il y aura présents des gardes (bien qu'ils puissent être cachés derrière des cloisons). On doit toujours s’incliner formellement devant un seigneur lors d'une telle réunion, et de s’assoire au sol à plusieurs pieds de distance. Il peut ou peut ne pas y avoir de coussin où s’assoire. Ne comptez pas là-dessus. Quand à l'intérieur, le seigneur tenant l’assistance s'assiéra invariablement sur une estrade à une extrémité de la salle, et tout autre sur le plancher. En extérieur, si une audience formelle y est conduite, il y aura une plateforme de tatami ou une chaise de camp sur lesquelles le seigneur s'assiéra, devant un demi-cercle de rideaux de campagne soutenant le mon du seigneur. Observez le film Kagemusha ; il y a plusieurs différents et excellents exemples d’audiences.
Parfois, la personne tenant la cour s'assiéra sur sa véranda, et les gens de service s'assiéront en-dessous sur la terre. C'est plus typique pour de grand regroupement, quand une seule pièce ne peut pas contenir tout le monde.
E ) Habits et apparences
Le tissage est d'utilisation répandue parmi les drapiers, et courant depuis la période He de Yayoi (C. 300 av-JC 300). A la période Nara (8ème siècle), les techniques de raffinage du tissage, présentent en Chine et en Corée, étaient d’utilisation répandue. Du coton tissé est apparu au 15ème siècle et est devenu populaire dans les classes inférieures.
Pour les gens du commun de Sengoku au Japon, l'habillement est habituellement de fibres de coton, de chanvre ou même d'ortie; les classes aristocrates portent de la soie. La soie est fabriquée au Japon aussi bien qu'importé de Chine.
Teindre du matériel est accompli en utilisant des colorants normaux de plantes et de minerais. Les trois méthodes sont les techniques des bacs, les pochoirs, et les teintures attachées. Les couleurs vont de la gamme de divers ton terreux aux couleurs lumineuses et aux pastels bijoux. Des brocards et des modèles imprimés sont également généralement trouvés. Des personnes plus âgées portent des couleurs plus foncées et plus soumises, alors que des personnes plus jeunes en portent des plus lumineuses, des habits plus voyant. Le blanc est la couleur de la mort ; les gens sur le chemin de la mort porteront du blanc, et les gens lors des enterrements seront aussi bien habillés en blanc.
L'habillement est attaché ou ceinturé ; il y a très peu d'exemples de boutons employés dans l'habillement (un est de juger le collier fermé sur un kimono porté sous l'armure).
Par temps pluvieux, les classes supérieures se serviront des parapluies de papier huilés. Les classes inférieures (et les samouraïs en marche) portent des imperméables de paille. Toutes les classes portent de grande geta, si elles peuvent avoir les moyens, pour garder leurs pieds hors de la boue et des flaques.
Les bases
Le sous-vêtement masculin universel est le fundoshi (bandeau de tissu), un long, étroit tissu qui s’enroule vers le haut entre les jambes et autour du torse inférieur. Les hommes effectuant des travaux laborieux tel que cultiver, couper du bois, ou de construction pourraient ne porter rien d’autre que ce bandeau de tissu et un bandeau, particulièrement si le temps est d'une manière accablante chaud et humide. Le fundoshi sert également de vêtement de natation.
Beaucoup d'hommes enroulent également un long tissu autour de leurs abdomens. Ce tissu, légèrement plus au moin qu'un shaku et de neuf shaku de longueur, s'appelle un haramaki. Il sert à garder au chaud le ventre, et est souvent porté même en été sous le reste de l'habillement de l'homme. La croyance est que si le ventre est maintenu chaud et fixe, la personne sera en bonne santé. Les femmes des classes supérieures portent un tablier rouge appelé un mô au lieu de tout autre sous-vêtement.
Le Kimono
Bien que le mot kimono signifie la « chose à porter » et puisse, dans un sens, se rapporter à n'importe quel article de d'habillement, il signifie bien … kimono. Les kimono sont toujours portés le côté gauche sur le droit; le côté droit du kimono sur le gauche est la manière d’habiller les morts.
Le plus bref et le plus léger kimono s'appelle un jûban, et fonctionne comme un T-shirt du vingtième-siècle. C'est habituellement une plaine, de chanvre séché ou de coton (ou de soie pour les classes aristocratiques). Les hommes et les femmes les portent, seule la coupe est légèrement différente.
Au delà de ceci, la plupart des vêtements portés par des femmes sont des variantes du kimono proprement dit ; taille, empleur, longueur de ceux-ci changent, mais la coupe générale est identique. Pour les hommes, seules les sous-classes sont généralement vêtus que d’un kimono ; une variété de gilets, des dessus de robes longues, et manteaux sont portés au-dessus du kimono. La coupe, le tissu, et les décorations différencie les rangs du kimono. Les classes aristocratiques ont de la soie du chanvre et du coton, alors que les classes inférieures n’ont pas accès à la soie.
Les Hommes
Les hommes des classes aristocratiques porteront invariablement le hakama (culottes-comme pantalon) avec leur kimono, même lorsqu’il flâne chez eux. Au-dessus de cette combinaison de hakama et de kimono, un buke qui flâne peut ajouter un dôbuku, qui est un grand, manteau large-gainé semblable à un happi. L'usage standard pour le moyens et bas rang de buke est le kamishimo, un vêtement se composant d'un hakama assorti et d'un gilet sans manche et sans cotés (appelés un kataginu), porté au-dessus d'un kimono. Dans le film Shôgun, beaucoup de tel exemple de kamishimo peut être vu. Un équipement plus formel est le suô ou le hitatare, qui est un kamishimo avec un énorme kataginu, les côtés libres joints. Un eboshi (chapeau de tissu) d'une certaine sorte est typiquement porté par ceux de leur rang. La sous-robe longue d'armure est essentiellement un hitatare avec des manches étroites adaptées. Ces grandes manches ont des cravates aux poignets pour permettre au porteur de les attacher ainsi elles ne se retireront pazs de cette manière.
Tous ces vêtements peuvent être décorés simplement ou minutieusement de la mon du clan du propriétaire ou du porteur.
En portant une armure, on peut porter un hitatare au-dessus de l'armure ; dans ce cas-ci, les manches sont attachées fermées au coude (de sorte qu'elles montent légèrement en ballon), et le hakama est porté au-dessus des juppe de plates de cuirasse. Cet équipement présente un aspect très martial.
Les Kuge portent un kariginu à la place.Un kariginu est une haute, longue et rondes robe colorée avec de grandes manches. Elle est porté au-dessus du hakama. Le kanmuri (chapeau de rang) est habituellement porté avec un kariginu, particulièrement dans des occasions formelles. Dans le plus formel des arrangements, le kuge portera un sokutai, une courte robe lourde et noire. En conditions moins formelles, un homme kuge portera un vêtement appelé un suikan, qui est presque identique dans la coupe à un kariginu, mais il est porté à l'intérieur du hakama, et avec le col ouvert et attaché en arrière.
Bonge et hinin pourraient seulement porter le kimono court, sans pantalon, si le temps est chaud. Ils peuvent également porter des guêtres de tissu autour de leurs tibias. Par temps froid, ils ajouteront un pantalon de la coupe semblable au hakama, mais plus serré et avec moins de tissu inutile. L'équipement est semblable à un gi de jûdô du vingtième-siècle.
Les prêtres bouddhistes portent typiquement un simple kimono avec un kesa de safran, une longue enveloppe de tissu portée sur une épaule.
Tout les buke ne se rase pas leurs têtes et portent un nœud de tête. Il y a deux variétés de nœuds de tête; le modèle de battage de thé (habituellement porté avec une tête pleine de cheveux), qui justes rassemble les cheveux directement vers le haut, tenus fortement dans un ruban en laissant l'extrémité évasive comme un batteur de thé ; les autres font appels à un petit noeud de ruban au dessus du dos de la tête et laisse chuter les cheveux en avant légèrement. Il n'y a, jusqu'ici, rien postérieure à l'Edo (période de Tokugawa) comme coiffure qui a des pates rasé et une longue queue de chevuex huilé vers l'avant. En se vetant d’une armure pour la bataille, le bushi laisse ses cheveux, et lâches sous le casque.
Les hommes des classes aristocratiques portent le tabi (chaussettes dédoubler-bottées avec la pointe du pied) de peau de daim ou de coton, et le waraji (sandals de paille). Ceux des classes inférieures font sans tabi excepté pendant l'hiver. Les getas ne sont pas portés excepté à la maison dans le jardin par temps inclément. Les Zori sont les chaussures alternatives les plus communes.
Puisque l'habit japonais n'a aucune poche, ce qui doit être porté est porté dasn un aileron avant du kimono, ou dans les accroches de manches. Dans l'aileron, un homme portera habituellement un ogi (éventail pliable), plusieurs feuilles de papier (utile pour l'écriture, ou pour « des affaires personnelles ») et probablement une pochette.
Les Femmes
Les femmes kuge font noircir leurs dents et rasés leurs sourcils, et un point noir minuscule de faux sourcil est peint en haute de leurs fronts ; c'est une marque de raffinement de vie et de tranquillité. Les femmes buke de rang les plus élevés ont adopté cette pratique jusqu'à un degré, bien que la plupart des buke la considéré comme une affectation. De même quelques hommes parmi les kuge noircissent leurs dents pour sembler élégants, mais il y a dans ce cas-ci également un sens de dégradation au sujet de cette pratique, et la plupart des bukes le prenne juste comme un impair.
Les femmes buke et kuge de la bourgeoisie portent de longs cheveux, et les attachent qu’une fois à la base du crâne avec un ruban et les laissent s’étendre lâchement.
La robe de cour pour les femmes kuge et buke est un vêtement antique appelé un jûni-hitoe. Le terme signifie « vêtement à 12 couches, » et bien que ce la puisse être une légère exagération, il y a en effet plusieurs couches huit à dix robes longues portées l’une sur l'autre.
Les couleurs et les modèles se coordonnent quant à la saison, et c'est une marque d’esthétisme pour une femme de ne faire aucun impair dans le choix de son habillement du jour. Le jûni-hitoe est encombrant et chaud, et les femmes le portant sont sévèrement limitées dans leur mouvement. Tandis qu'elles semblent éblouissantes, elles sont prisonnieres de leur propre habit.
Généralement, elles porteront une ou deux couches de kimono ceinturé avec un autre kimono (non ceinturé) comme une sorte de veste. Quand elles vont dehors, elles emploieront le kimono non ceinturé comme une sorte de chapeau, le tenant au-dessus de leurs têtes. Ceci sert à se preserver du soleil hors de leurs yeux, et à maintennir leur peau pâle. Cela sert également à se substituer aux yeux d’autruis en dehors. Une alternative est un chapeau bas, large conique tissée de paille, avec un voile accroché.
Les femmes du commun portent un kimono et un sous-vêtement, à moins que leurs conditions professionnelles (par exemple, geisha ou courtisanes) réclament autre chose. Comme les femmes de la bourgeoisie, elles portent de longs cheveux, mais pas en long, mais souvent elles les ramènent vers le haut de leurs têtes avec un peigne.
Les chignons énormes et obi dans un style très fleuri décoré généralement vus au vingtième siècle n'apparaît pas dans le Japon Sengoku.
F ) Diner et boire
Diner se fait dans n’importe quelle pièce; il n'y a pas de salle à manger ou de festin dans les maisons ou domaines japonais. Chaque arrangement est préparé sur une table individuelle légèrement plus grande qu'un sur un shaku.
Plutôt qu'un grand plat simple, chaque produit alimentaire a son propre plat. Souvent, les plats ont des fonctions spécialisé; ce plat est utilisé seulement pour les poissons, ce plat exclusivement pour des conserves au vinaigre, le bol etc. Du riz accompagne chaque repas. Cette coupe peut être remplie autant de fois selon les besoins d'un grand baquet. On ne doit jamais planter ses ohashi (baguettes) dans un bol de riz de sorte qu'elles soient levé ; c'est ainsi que l’on offre le riz aux morts et s’est un présage de très mauvaise chance.
Le Diner se fait avec des ohashi. Les bols et les plats de nourriture sont apportés près de la bouche et la nourriture est livrée avec les ohashi. Bien que les cuillères existent, les potages sont plutôt bus plutôt qu’à chaque fois puisés une bouchée.
Pour une liste des nourritures et des boissons communes, voir la nourriture et les produits alimentaires dans la section liste d'équipement (pages 179-180).
Le Saké
Le saké remonte au 3ème siècle, ne provenant d'un type appelé kuchikami no saké, « le saké mâcher-dans-la bouche ». Le Kuchikami no saké a été fait de la manière que vous pourriez imaginer ; Des châtaignes et du millet étaient mâchés par tout le village et puis recraché dans un baquet pour fermenter. Dans le Japon du Sengoku, le saké est la boisson omniprésente, et il y a une variété ahurissante de types. Il y a du saké doux, du saké de cérémonie, du saké épais fait de la lie, du saké sec, et ainsi de suite. Au contraire de l'opinion populaire, tout les sakés ne sont pas censé être bu chaud; certain saké sont réellement meilleur servis froid.
Le saké est bu dans des tasses basses et larges appelées sakazuki, bien que plus d'un buveur sérieux de saké fini converti le bol de potage en tasse de saké. On le considère d’un goût douteux de boire directement à la bouteille ou de la fiole de saké. Un domestique ou un compagnon voisin verse les boissons. On ne devrait jamais se servir sois même. Est-il grossier de se servir ? Non ; c’est juste une manière dont cela ce fait. Seulement ceux qui sont bruts et grossier, ivre, ou vraiment à l'aise les uns avec les autres, se passeront de ce rituel.
Le saké est brassé en hiver. Beaucoup de grandes fermes brassent leur propre saké comme métier hors-saison. De plus petites fermes peuvent brasser leur propre saké pour leur usage personnel et pour offrir aux invités. La qualité n'est généralement pas aussi bonne que de grand brasseurs professionnels, mais un jour ou une soirée froide d'hiver, une tasse chaude de saké peuvent être très bons et chauffer le ventre indépendamment de son origine.
Les négociants de saké dans les villes sont également connus pour être des prêteurs sur gages, et ont la réputation d’usuriers.
Le Thé
Le thé, ou o-cha, est une boisson commune, et est servi dans de plus grandes tasses, très chaudes. Notez que c'est différent du thé utilisé dans le Cha-no-ryu, ou cérémonie du thé. Le thé commun est juste une boisson chaude ; c'est un rituel.
G ) Utiliser l'étiquette en jeu
Toutes les fois qu'un joueur annonce qu'il « fait quelque chose » dans une scène sociale ou autre interactivité, le MJ devrait demander au joueur, si n’indique pas exactement l'information, comment il fait l'action.
Ceci permettra au MJ de déterminer si le joueur est correctement poli (officieux, brut, quoi que) pour la situation, et ceci permettra au MJ de formuler les réponses appropriées. Si le MJ pense que le joueur pourrait juste oublier quelque chose, il peut lui donner un conseil pour s'assurer que l'action n'est pas délibérée. Considérez cet exemple :
MJ : La garde vous escorte dans la même salle d'audiences que vous avez vues la nuit passée. Le daimyô se repose sur l'estrade, polissant une épée, et il n'y a aucune garde en vue.
Bob (jouant Jûrobei) : Je vais vers l'estrade et m'assieds.
MJ : (voulant déterminer si les obéissances appropriés sont faits ou pas) Jûrobei fait ca comment ?
Bob : Bien, je monte juste et m'assieds sur le coussin.
MJ : Vous ne vous courbez pas ?
Bob : Ah, ouais. Je m’incline, mais pas bas. Je ne fais pas confiance au daimyô.
MJ : Autre chose ?
Bob : Non. J'attends silencieusement qu’il parle.
Le MJ sait maintenant que Jûrobei insulte délibérément le daimyô, pour deux raisons ; la courbette n’est pas approprié, et il porte toujours son épée. Il peut maintenant suivre le jeu selon ce scénario.
Il est, naturellement, plus utile si le joueur spécifie et détaille comme dans cet exemple :
Bob : Je marche vers l'estrade, fais une pause à quelques pieds du coussin, et me prosterne sur le plancher.
MJ : Le daimyô incline la tête et indique le coussin.
Bob : Je me déplace vers le coussin, me mets à genoux formellement ldessus, et sors mon wakizashi et le place sur mon bon côté, et m’incline encore. J'attends que le daimyô s’adresser à moi.
Cette fois, Jûrobei est formel et très poli. La réponse du daimyô sera plus positive cette fois que dans l'exemple précédent.