III ) Le Shugendô
Des adhérents s'appellent shugenja ou yamabushi. Le fondateur est considéré comme étant Gyôja (l’homme miraculex), une figure quasi-légendaire du 8ème siècle. Si votre jeu de SENGOKU inclut la magie, alors il n'y a aucun doute qu’il a créé Shugendô, et il n'y a aucun doute qu'ils peuvent faire ce qu'ils espèrent faire. Dans un chanbara ou un anime Japonnais, le shugenja sont des maîtres de la magie, des exorcistes, et des guérisseurs de l'au-delà. Le Shugendô combine des éléments de croyance Shintô de certains lieux, particulièrement des montagnes, en tant que divin sacré avec la doctrine, symbolique, ésotérique et rituel bouddhisme comme le Shingon ou le Tendai, desquels la plupart des shugenjas viennent. La branche Shingon (Tôzan-ha) est basée à Daigo-JI dans le Miyako, et la branche Tendai (Honzan-ha) est basée à Shôgo aussi dans le Miyako. La différence entre les branches est sans importance.
Les précurseurs du shugenja étaient des hermites des montagnes (hijiri) qui sont allé dans les montagnes pour se donner plus à l'ascétisme solitaire, jeûnant, en s’immergeant dans de l’eau glaciales et sous des chutes d'eau, et recitatant des textes saints (par exemple, le Sutra du lotus). Ils ont cherché la puissance de vaincre la maladie-apporter par les êtres spirituels. Ils espérent se rendre imperméables à la chaleur ou au froids, et de permetre à leurs âmes de voyager entre ciel et enfer sous une forme de projection astrale.
Pendant la période Heian, ils sont organisés en groupes avec des règles prescrites d'ascétisme. Les rituels sont des secrets stricts, et ne sont pas notés. Toutes les éducations et connaissance sont communiquées seulement oralement aux disciples qui ont été initiés à l'ordre. En termes de jeu, seuls les personnages avec une adhésion dans une secte de yamabushi peuvent étudier leurs arts mystiques, sans exception. L'exercice rituel principal « entrer dans la montagne » (mineiri), une montée d'une montagne sainte particulière à chacune des quatre saisons. L'élevation est symbolique (laissant le réel profane et s'élevant au chant religieux) et utile (pour s'imprégner avec la puissance). Des exercices ascétiques sont exécutés sur le chemin vers les hauteurs. La puissance gagnée permet au shugenja de soumettre les ennemis spirituels, animaux surnaturels, et de lutter contre les fantômes vindicatifs ou mécontents.
Les montagnes principales sont Ôminesan (Kinbusen-JI, fondé par en lui-même, est sur la montagne, en Yamato), Kôyasan (le sanctuaire de Katsuragi est sur la mon, en Yamato), Ushiroyama (Bitchû), Daisen (Hôki), et ceux autour des triple-sanctuairex de Kumano (Kii) et de Dewa (Uzen).
Yamabushi contre Sohei
Notez que les moine-guerriers des monastères, le sôhei, s'appellent également yamabushi; les kanjine sont pas identique, et la signification est complètement différente. Nous nous référons à ces moines guerriers seulement comme sôheidans SENGOKUpour éviter la confusion.
Les temples Yamabushi s'appellent yamadera et sont situés exclusivement sur les montagnes sacrées. Utilisez pour les Yamabushi la même table de niveau d'adhésion que les prêtres bouddhistes. Le film Les hommes qui marchent sur la queue du tigre donne une excellente interprétation des yamabushi, aussi bien qu'une partie de leurs prières et mudra (les gestes mystiques de la main)
Transgressions Shugendo (yambushi)
Transgression Mineure (-1 PIE chaque)
Voller
Accomplir un adultère
Mentir ou exagérer
Converser abusivement
Équivoque
Succomber à l’avidité
Fuire la privation
Refuser la charité
Gaspiller la nouriture
Transgression Principale (PIE à 0)
Maudire ou déshonorer Bouddha
Echec critique de jet de compétence en lançant une prière
Manger de la viande